D.U. Histoire et généalogie familiale du Mans

Publié le 28 Juin 2018

Comme vous le savez, je l'ai évoqué dans certains articles, je suivais cette année la formation à distance, diplômante, proposée par l'université du Mans.

Je suis heureux de vous annoncer que j'ai obtenu le D.U. Histoire et généalogie familiale, sans mention, mais soulagé.

Soulagé, car j'ai été confronté à deux difficultés principales tout au long de l'année :

1) La première, c'est la perte d'un disque-dur externe à quelques jours de rendre les dossiers intermédiaires. Il contenait deux mois et demi de recherches, ainsi que les fichiers des dits dossiers. De plus, je n'ai pas pu respecter certaines consignes, du fait de l'absence des documents concernés. J'ai perdu beaucoup de temps à vouloir compléter mes recherches pour le dossier final, au détriment du plan et du strict respect des consignes.
 
2) La seconde, c'est mon manque d'organisation pour certaines choses. Reprendre des études, cinq ans après les avoir arrêté, a été plus difficile que je ne pensais. Je me suis fixé des objectifs trop ambitieux par rapport à mes capacités, le temps et les moyens dont je disposais. Résultat, en plus du problème précédent, je me suis éparpillé en voulant bien faire (certes...). Un proverbe ne dis-t-il pas que « le mieux est l'ennemi du bien».
 
J'espérais intérieurement faire parti des reçus au diplôme, même si je me préparais à un échec. Il s'en est d'ailleurs fallu de peu que je ne sois pas reçu au diplôme. J'ai trouvé la notation du dossier final assez sévère. J'ai eu l'impression d'avoir fait un travail d'archives et de documentation bien plus diversifié que pour mon mémoire de master 1 il y a cinq ans. J'avais eu une bonne mention à l'issu de ma quatrième année université. Ici, je suis plus proche de 11 de moyenne que de 16 (en ayant pourtant fourni un travail aussi intensif). Cela montre que les professeurs sont donc exigeants et, quelque part, c'est plutôt bon signe, car cela force à vouloir mieux faire. Ne dis-ton pas aussi que l'on apprends de ses erreurs.

Je joins ici quelques extraits de ce dossier, qui n'est donc pas parfait, loin s'en faut, même si la qualité de la première partie (ici mise à l'honneur) a été souligné par la professeure qui a assuré la correction.

En tout cas, malgré ces imperfections, je suis assez fier de le présenter, et je n'ai plus, maintenant, qu'à l'améliorer en tenant compte des remarques qui m'ont été faites.

 

 

 

 

 

 

Rédigé par Simon Levacher

Publié dans #méthodologie, #côté paternel, #histoire régionale

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article